Rod Evans
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tangmo
Apollo
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Rod Evans
Pour moi, Rod Evans a sorti l'un des meilleurs albums de la Deep Purple family: l'album éponyme de Captain Beyond.
Qu'en pensez-vous.
Bobby Caldwell (le batteur) vient de reformer le groupe mais il est le seul membre d'origine. Il faut dire que Rhino et Lee Dorman sont morts et Rod a disparu (Caldwell dit être toujours en contact avec lui). Un album de démo (avec 1 inédit) vient de paraître.
Qu'en pensez-vous.
Bobby Caldwell (le batteur) vient de reformer le groupe mais il est le seul membre d'origine. Il faut dire que Rhino et Lee Dorman sont morts et Rod a disparu (Caldwell dit être toujours en contact avec lui). Un album de démo (avec 1 inédit) vient de paraître.
fooly- Lazy
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Date d'inscription : 06/08/2017
Re: Rod Evans
J'ai écouté quelques fois et c'est vrai que ça tenait pas mal la route. Il y a des trucs intéressant aussi sur Sufficiently Breathless de mémoire, mais je pense me souvenir qu'il était moins consistant que le premier. Mais faudra que je réécoute !
Re: Rod Evans
j'ai tous les albums plus les live sortis depuis , rod evans est sans doute meilleur chez captain beyond que sur les 3 1er deep
comme lucifer friend ce groupe n'aura pas eu le succès mérité
les 2 albums sont bons avec une preference pour le 1er
comme lucifer friend ce groupe n'aura pas eu le succès mérité
les 2 albums sont bons avec une preference pour le 1er
tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
enregistré sur vhs par un menbre du fch ? de memoire ? je me trompe ?
tangmo- Lazy
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Re: Rod Evans
merci pour l'infofooly a écrit:Pour moi, Rod Evans a sorti l'un des meilleurs albums de la Deep Purple family: l'album éponyme de Captain Beyond.
Qu'en pensez-vous.
Bobby Caldwell (le batteur) vient de reformer le groupe mais il est le seul membre d'origine. Il faut dire que Rhino et Lee Dorman sont morts et Rod a disparu (Caldwell dit être toujours en contact avec lui). Un album de démo (avec 1 inédit) vient de paraître.
j'ai donc commandé le cd
l'inedit est bien chanté par rod evans
tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
j ai ecouté les premiers titres du premier album ! ca sonne terriblement années 60 ! et il est clair que rod evans n est plus dans les criteres vocaux des 70 ! j ai stoppé l ecoute !
Invité- Invité
Re: Rod Evans
Disons qu'on est dans un type de hard rock différent des anglais, typiquement US de l'époque. Héritage d'Iron Butterfly et de Johnny Winter, plus que de Deep Purple. c'est hendrixien, teinté de Steppenwolf.Franck a écrit:j ai ecouté les premiers titres du premier album ! ca sonne terriblement années 60 ! et il est clair que rod evans n est plus dans les criteres vocaux des 70 ! j ai stoppé l ecoute !
fooly- Lazy
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Re: Rod Evans
comme quoi les goûts ....moi j'aime bien
mais ou peut être Rod EVANS maintenant ?
mais ou peut être Rod EVANS maintenant ?
tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
1971 : Hard to Be Without You / You Can't Love a Child Like a Woman
tangmo- Lazy
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Age : 57
Re: Rod Evans
la j'aime moins que captain beyond trop marqué 1960
tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
et la fameuse reformation de deep purple en 1980
plus d'info ici :
web.archive.org/web/20000117032835/tinpan.fortunecity.com/aprilskies/65/dp1980.html
thehighwaystar.com/specials/1980/sounds.html
plus d'info ici :
web.archive.org/web/20000117032835/tinpan.fortunecity.com/aprilskies/65/dp1980.html
thehighwaystar.com/specials/1980/sounds.html
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tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
twitter.com/efemerides_es/status/557257043569278978
h-f.co.uk/profile/rod-evans/
rod evans ?????
je pense pas
h-f.co.uk/profile/rod-evans/
rod evans ?????
je pense pas
tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
Moi non plus.
Ca collerait au niveau de l'âge... mais pas au niveau du menton
PS: ce type s'appelle bien Rod Evans.
Ca collerait au niveau de l'âge... mais pas au niveau du menton
PS: ce type s'appelle bien Rod Evans.
fooly- Lazy
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Date d'inscription : 06/08/2017
Re: Rod Evans
tangmo a écrit:
enregistré sur vhs par un menbre du fch ? de memoire ? je me trompe ?
Non tu as raison et j'ai toujours la VHS originale
J-Strat- Lazy
- Messages : 1530
Date d'inscription : 04/08/2017
Re: Rod Evans
Moi aussi...
Et il y a aussi dessus du Warhorse, du James Gang, du Buttefly Ball... et j'en passe
Et il y a aussi dessus du Warhorse, du James Gang, du Buttefly Ball... et j'en passe
fooly- Lazy
- Messages : 257
Date d'inscription : 06/08/2017
Re: Rod Evans
Sur Lost and Found il y a un titre du 3ème album (celui chanté par Willy Dafern) avec Rod Evans
fooly- Lazy
- Messages : 257
Date d'inscription : 06/08/2017
Re: Rod Evans
J-Strats a écrit:tangmo a écrit:
enregistré sur vhs par un menbre du fch ? de memoire ? je me trompe ?
Non tu as raison et j'ai toujours la VHS originale
tangmo- Lazy
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Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
La video originale de J.Strats a été restaurée par un gonze.
fooly- Lazy
- Messages : 257
Date d'inscription : 06/08/2017
Re: Rod Evans
Comme je le disais sur le topic d'écoute. Le reboot de la communauté Purple permet de reparler de trucs dont on avait plus parlé depuis des années. Par la même occasion, les réécouter comme le premier disque du captain.
Merci à Fool d'avoir réactualiser. Là où j'en étais resté sur un disque sympa sans plus, alors que c'est tout de même plus que ça.
Très très bon.
Merci à Fool d'avoir réactualiser. Là où j'en étais resté sur un disque sympa sans plus, alors que c'est tout de même plus que ça.
Très très bon.
JC- Lazy
- Messages : 526
Date d'inscription : 02/08/2017
Re: Rod Evans
CHRONIQUE DE PATRICK GRACZYK MAGAZINE ROCK&FOLK NOVEMBRE 1973 N° 82 Page 93
2° Album 1973 33T réf : Capricorn 47510
Voilà un album qui nous fera doublement oublier la désastreuse prestation de l'Olympia (rappelez-vous la première partie des Doors en mai 72). En ces temps-là, Captain Beyond semblait harassé par des problèmes d'équilibre musical, incapable de pouvoir s'échapper de la vacuité qui le tenait. Mais les ans lui ont ouvert les portes et lui ont procuré la maturité salutaire, d'où ces changements de personnel (Marty Rodriguez) et d'orientation survenus depuis, et surtout ultérieurement au premier album, assurément inférieur à celui-ci. Enfin, "Sufficiently Breathless" démontre que le groupe cachait bien des facultés que l'on ne soupçonnait point à une époque. Plus encore que sa qualité, c'est sa fraicheur qui saisit.
Dans un tout autre style, Captain Beyond propose ici une musique diantrement swingante, un alliage impeccablement dosé de rock et de rythmes latins, ceux qui possèdent particulièrement la magie de rendre, en un quart de tour, les musiques encore plus charmantes, encore plus étourdissantes. D'autant plus que le groupe a su s'augmenter de musiciens non seulement compétents mais surtout prêts à sacrifier un peu de sueur pour offrir à l'ensemble des couleurs à la fois infiniment plus chatoyantes et excitantes : Guille Garcia (congas, timbales, percussion) et Reese Wynans (electric & acoustic piano). Ainsi, l'incursion de ces deux bonshommes a apporté à la musique de ce groupe jadis rudimentaire qui avait puisé son énergie dans les mêmes entrailles que les gens avec lesquels chacun des membres avait joué auparavant. Que ce soit avec Iron Butterfly pour Lee Dorman (basse) et Rhino (lead, acoustic & slide guitars) ou avec un Deep Purple encore méconnu pour Rod Evans (vocals), chacun marquait au fer rouge sur la musique les leçons apprises au fil de ces aventures éphémères ; mais la synthèse ne rendait que vain tout espoir d'originalité et d'esthétique. Le résultat n'offrait qu'une tournure sujette à la violence sonore, une "compression" des sonorités qui annihilait toute grandeur d'âme.
Aujourd'hui, l'esprit de Captain Beyond a bien changé et, inévitablement, la musique a fait peau neuve. Une chose engendre une autre ...
Plus de fournaise sonore, mais des rocks allégés, bien construits, qui éliminent toute trace d'un passé délétère. Évidemment, le responsable le plus proéminent de cette volte-face pourrait bien être Guille Garcia, locomotive qui éructe ses vapeurs enivrantes et qui entraine sa suite vers les décors de son pays au rythme de percussions fébriles ("Everything's A Circle", "Distant Sun"). Mais, si bien agencés sont les morceaux, que même ceux qui excluent toute influence latine n'en suscitent pas moins une curiosité profonde. Car nous sommes aux antipodes du groupe de la première heure, de ce heavy-rock grondeur qui était sa marque de fabrique. Désormais, la musique apparait plus étirée, plus limpide aussi ; la guitare n'écrase plus, par sa lourdeur, les autres instruments, mais au contraire, se fond dans l'ensemble, voire même décuple son efficacité en background, dans certains cas ("Bright Blue Tango"). Par le cisèlement de notes claires stridentes, le style de Rhino frise parfois celui-ci de Carlos Santana ("Everything's A Circle"), toutes proportions gardées évidemment, et l'on peut s'empêcher d'évoquer la chaleur ambiante du studio, les balancements lascifs. Même Rod Evans qui semble maintenant jouer sans encombre avec sa voix, laisse parler les musiciens parmi lesquels se manifeste particulièrement Reese Wynans avec, dans ses mains, son piano électrique qui sème çà et là ses notes onctueuses et contribue à nourrir plus amplement le nouveau sound de Captain Beyond ("Drifting In Space") et "Starglow Energy", morceau dans lequel on note la participation de Paul Hornsby à l'orgue). Dans cet album, on survole un éventail de styles (cosmique, acoustique, afro-cubain), et c'est bien là l'explication exacte de ce charme si singulier. "Sufficiently Breathless" pourrait bien sonner en même temps, la fin d'un trop long sommeil et la réalisation de foisonnants jolis rêves accumulés dans l'esprit du groupe. Enfin.
2° Album 1973 33T réf : Capricorn 47510
Voilà un album qui nous fera doublement oublier la désastreuse prestation de l'Olympia (rappelez-vous la première partie des Doors en mai 72). En ces temps-là, Captain Beyond semblait harassé par des problèmes d'équilibre musical, incapable de pouvoir s'échapper de la vacuité qui le tenait. Mais les ans lui ont ouvert les portes et lui ont procuré la maturité salutaire, d'où ces changements de personnel (Marty Rodriguez) et d'orientation survenus depuis, et surtout ultérieurement au premier album, assurément inférieur à celui-ci. Enfin, "Sufficiently Breathless" démontre que le groupe cachait bien des facultés que l'on ne soupçonnait point à une époque. Plus encore que sa qualité, c'est sa fraicheur qui saisit.
Dans un tout autre style, Captain Beyond propose ici une musique diantrement swingante, un alliage impeccablement dosé de rock et de rythmes latins, ceux qui possèdent particulièrement la magie de rendre, en un quart de tour, les musiques encore plus charmantes, encore plus étourdissantes. D'autant plus que le groupe a su s'augmenter de musiciens non seulement compétents mais surtout prêts à sacrifier un peu de sueur pour offrir à l'ensemble des couleurs à la fois infiniment plus chatoyantes et excitantes : Guille Garcia (congas, timbales, percussion) et Reese Wynans (electric & acoustic piano). Ainsi, l'incursion de ces deux bonshommes a apporté à la musique de ce groupe jadis rudimentaire qui avait puisé son énergie dans les mêmes entrailles que les gens avec lesquels chacun des membres avait joué auparavant. Que ce soit avec Iron Butterfly pour Lee Dorman (basse) et Rhino (lead, acoustic & slide guitars) ou avec un Deep Purple encore méconnu pour Rod Evans (vocals), chacun marquait au fer rouge sur la musique les leçons apprises au fil de ces aventures éphémères ; mais la synthèse ne rendait que vain tout espoir d'originalité et d'esthétique. Le résultat n'offrait qu'une tournure sujette à la violence sonore, une "compression" des sonorités qui annihilait toute grandeur d'âme.
Aujourd'hui, l'esprit de Captain Beyond a bien changé et, inévitablement, la musique a fait peau neuve. Une chose engendre une autre ...
Plus de fournaise sonore, mais des rocks allégés, bien construits, qui éliminent toute trace d'un passé délétère. Évidemment, le responsable le plus proéminent de cette volte-face pourrait bien être Guille Garcia, locomotive qui éructe ses vapeurs enivrantes et qui entraine sa suite vers les décors de son pays au rythme de percussions fébriles ("Everything's A Circle", "Distant Sun"). Mais, si bien agencés sont les morceaux, que même ceux qui excluent toute influence latine n'en suscitent pas moins une curiosité profonde. Car nous sommes aux antipodes du groupe de la première heure, de ce heavy-rock grondeur qui était sa marque de fabrique. Désormais, la musique apparait plus étirée, plus limpide aussi ; la guitare n'écrase plus, par sa lourdeur, les autres instruments, mais au contraire, se fond dans l'ensemble, voire même décuple son efficacité en background, dans certains cas ("Bright Blue Tango"). Par le cisèlement de notes claires stridentes, le style de Rhino frise parfois celui-ci de Carlos Santana ("Everything's A Circle"), toutes proportions gardées évidemment, et l'on peut s'empêcher d'évoquer la chaleur ambiante du studio, les balancements lascifs. Même Rod Evans qui semble maintenant jouer sans encombre avec sa voix, laisse parler les musiciens parmi lesquels se manifeste particulièrement Reese Wynans avec, dans ses mains, son piano électrique qui sème çà et là ses notes onctueuses et contribue à nourrir plus amplement le nouveau sound de Captain Beyond ("Drifting In Space") et "Starglow Energy", morceau dans lequel on note la participation de Paul Hornsby à l'orgue). Dans cet album, on survole un éventail de styles (cosmique, acoustique, afro-cubain), et c'est bien là l'explication exacte de ce charme si singulier. "Sufficiently Breathless" pourrait bien sonner en même temps, la fin d'un trop long sommeil et la réalisation de foisonnants jolis rêves accumulés dans l'esprit du groupe. Enfin.
tangmo- Lazy
- Messages : 2358
Date d'inscription : 01/08/2017
Age : 57
Re: Rod Evans
Belle chronique, mais je continue à préfèrer (et de loin) le 1er album
fooly- Lazy
- Messages : 257
Date d'inscription : 06/08/2017
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